Nombre de pages : 186
Édité par : Éditions Publibook
Résumé éditeur :
Mon avis :
Si vous me suivez régulièrement, vous savez que je connais déjà Isabelle Morot-Sir. J'ai déjà lu plusieurs romans de cette autrice : La citadelle des dragons (fantasy) et les deux premiers tomes d'El Matador (1) (Le retour de la bête est par ici) en jeunesse.
J'aime vraiment beaucoup des récits d'Isabelle. La seule chose que je regrette, c'est que cette autrice de talent passe par Publibook dont le travail éditorial est assez douteux à mon sens ("Votre livre sans faute(s) à un prix abordable", dit leur site, je vous assure que c'est loin d'être le cas malheureusement...).
Bref, en dehors de cet aspect technique, quel plaisir de retrouver la plume classique, fluide et riche en vocabulaire d'Isabelle Morot-Sir !
Côté histoire, j'ai absolument adoré ce livre. Isabelle campe une uchronie bien pensée et glaçante. La dystopie est terriblement réaliste. On découvre tout d'abord la Nation, un pays à la culture eugénique bien huilée... Alors voici les méchants sûrement et les "gentils" seront de l'autre côté de la frontière ? Mais l'autrice va plus loin et elle nous entraîne dans un monde loin du manichéisme souvent trop présent en littérature.
Petit plus, l'histoire d'amour est pleine de fraîcheur et de douceur.
Bon, je crois que vous avez compris, j'ai vraiment eu un coup de cœur pour ce petit roman que j'ai dévoré dans la nuit (mes cernes ne te remercient pas Isabelle, d'ailleurs !). Je ne peux que vous le conseiller. Les fans de romances seront comblés et ceux qui aiment les univers dystopiques cohérents, ravis !
Dans une Europe contemporaine et cependant uchronique, Tamara, brillante adolescente dont la destinée est dictée par l'indifférence glacée des lois eugéniques de son pays, se voit propulsée au rang de Mère de la Patrie. Comment accepter un tel sort ? Comment seulement s'y soustraire ? L'avenir est-il dans une fuite aveugle vers un ailleurs inconnu et peut-être pire encore ? Ou dans le renoncement? À qui pourra-t-elle se fier ? Sa rebelle naïveté ne risque-t-elle pas de l'amener à prendre les mauvaises décisions ? À accorder trop hâtivement sa confiance ? Mais aura-t-elle seulement une alternative... ?
Après La Citadelle des dragons, Isabelle Morot-Sir renoue avec l'imaginaire le plus débridé. Mêlant science-fiction et romance, son envolée d'anticipation se montre effrayante mais résolument entraînante, et saura divertir autant que faire réfléchir un large public.
Mon avis :
Si vous me suivez régulièrement, vous savez que je connais déjà Isabelle Morot-Sir. J'ai déjà lu plusieurs romans de cette autrice : La citadelle des dragons (fantasy) et les deux premiers tomes d'El Matador (1) (Le retour de la bête est par ici) en jeunesse.
J'aime vraiment beaucoup des récits d'Isabelle. La seule chose que je regrette, c'est que cette autrice de talent passe par Publibook dont le travail éditorial est assez douteux à mon sens ("Votre livre sans faute(s) à un prix abordable", dit leur site, je vous assure que c'est loin d'être le cas malheureusement...).
Bref, en dehors de cet aspect technique, quel plaisir de retrouver la plume classique, fluide et riche en vocabulaire d'Isabelle Morot-Sir !
Côté histoire, j'ai absolument adoré ce livre. Isabelle campe une uchronie bien pensée et glaçante. La dystopie est terriblement réaliste. On découvre tout d'abord la Nation, un pays à la culture eugénique bien huilée... Alors voici les méchants sûrement et les "gentils" seront de l'autre côté de la frontière ? Mais l'autrice va plus loin et elle nous entraîne dans un monde loin du manichéisme souvent trop présent en littérature.
Petit plus, l'histoire d'amour est pleine de fraîcheur et de douceur.
Bon, je crois que vous avez compris, j'ai vraiment eu un coup de cœur pour ce petit roman que j'ai dévoré dans la nuit (mes cernes ne te remercient pas Isabelle, d'ailleurs !). Je ne peux que vous le conseiller. Les fans de romances seront comblés et ceux qui aiment les univers dystopiques cohérents, ravis !
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Cette lecture compte pour le PIF de Monde Fantasy.
D'ailleurs, je suis un scientifique fou, ça y est !
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