Voici une nouvelle chronique pour le challenge proposé par Xapur... Pour rappel, il s'agit de diminuer notre PAL en choisissant des livres de SFFFH de moins de 350 pages ou des recueils de nouvelles puis de proposer nos avis sur nos blogs respectifs. Ce challenge a débuté le dimanche 21 juin et court jusqu'au 23 septembre 2015 !
Aujourd'hui, après L'Opéra de Shaya, je vous propose un roman court : L'usine de Philippe Napoletano :
Genre : science-fiction ; dystopie.
Nombre de pages : 213.
Édité par : Éditions D'un Noir si Bleu.
La maison d'édition qui publiait ce livre ainsi que de chouettes livrets carte postale a malheureusement fermé ses portes mais il doit bien exister quelques occasions sur le net et ailleurs...
Résumé :
Mon avis :
C'est très difficile pour moi de donner un avis tranché sur ce roman ! J'ai beaucoup aimé le thème et la manière dont il était abordé. J'ai apprécié la progression du style parallèlement à la progression du personnage. Sans lourdeur excessive, l'auteur joue par exemple sur la répétition au début, j'avais vraiment cette impression de travail à la chaîne puis, comme Courneuve évolue, l'écriture s'ouvre, les phrases se complètent en même temps que sa pensée...
Pourtant, je reste sur ma faim (ma fin?). J'ai l'impression que le récit était plutôt monté comme celui d'une nouvelle et, dans le cadre d'un roman, il m'en manque un bout ! Je suis ressortie un peu frustrée de cette lecture. J'avais envie d'en savoir plus et de faire plus de liens.
Pour conclure, j'ai trouvé ce roman intéressant avec une écriture qui correspond bien à l'univers dépeint mais j'aurais aimé un développement un peu plus poussé de certains aspects.
La maison d'édition qui publiait ce livre ainsi que de chouettes livrets carte postale a malheureusement fermé ses portes mais il doit bien exister quelques occasions sur le net et ailleurs...
Résumé :
Ayez confiance en l’usine, car l’usine vous fait confiance.
Courneuve découvre cette inscription au-dessus du porche monumental de l’usine au service de laquelle il entrera bientôt. Tout va bien. Un travail, un logement, un revenu, quelques amis, Courneuve n’en demande pas davantage… Enfin, il y a bien sûr les changements d’équipes incessants, les commissions du Syndicat, et le mystérieux Bureau des Directions régentant l’usine et la ville. Courneuve cherche à comprendre, il explore cette ville tournant comme une mécanique parfaitement huilée pour, espère-t-il, la comprendre.
L’Usine est une interprétation actuelle des dystopies classiques, une relecture de 1984, mais à l’heure du monde 2.0 !
Mon avis :
C'est très difficile pour moi de donner un avis tranché sur ce roman ! J'ai beaucoup aimé le thème et la manière dont il était abordé. J'ai apprécié la progression du style parallèlement à la progression du personnage. Sans lourdeur excessive, l'auteur joue par exemple sur la répétition au début, j'avais vraiment cette impression de travail à la chaîne puis, comme Courneuve évolue, l'écriture s'ouvre, les phrases se complètent en même temps que sa pensée...
Pourtant, je reste sur ma faim (ma fin?). J'ai l'impression que le récit était plutôt monté comme celui d'une nouvelle et, dans le cadre d'un roman, il m'en manque un bout ! Je suis ressortie un peu frustrée de cette lecture. J'avais envie d'en savoir plus et de faire plus de liens.
Pour conclure, j'ai trouvé ce roman intéressant avec une écriture qui correspond bien à l'univers dépeint mais j'aurais aimé un développement un peu plus poussé de certains aspects.
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